Chaque année, une trentaine de personnes perdent la vie sur les routes du Bas-Rhin ; plus de 300 sont gravement blessées. Fatalité, disent les uns. Evénements prévisibles, soutiennent les autres. Faut-il parler d’accidents de la route ? De violences routières ? De publics « à risque » ? Les étudiants du CUEJ ont enquêté auprès des victimes et de leurs familles, des services de secours, des forces de l’ordre, des équipes médicales, des services techniques déployés autour de la sécurité, promue cause nationale depuis 2002.